[trx_block align= »center » title= »La Galerie O Cinq Sens » subtitle= »Bienvenue » description= »Venez découvrir notre galerie d’expositions et nos artistes, dans un cadre unique. » scheme= »o5sensgalerie » color= »#bfbfbf »]
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[trx_block align= »center » title= »Martine Bénabou » subtitle= »Exposition actuelle » line= »show » description= »Du 5 septembre au 30 octobre 2022 • Vernissage en présence de l’artiste le vendredi 9 septembre 2022, de 18h à 20h »][/trx_block]
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Martine BÉNABOU


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Peintures & sculptures

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Vernissage en présence de l’artiste

le vendredi 9 septembre 2022
à partir de 18h  jusqu’à 20h

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du 5 septembre au 30 octobre 2022

Il y a plus de 35 ans, Martine Bénabou découvre la gravure à l’atelier des Beaux Arts de Castres.

Passionnée par cette discipline, elle s’y consacre entièrement, abandonnant peinture et sculpture.

Son écriture d’abord expressionniste va évoluer petit à petit vers une recherche graphique de plus en plus épurée, s’inscrivant dans le vide et le plein.

Si les premières gravures sont exécutées à l’eau forte (acide), depuis quelques années, sa démarche expérimente des techniques mixtes moins toxiques et se joue de tous les codes.

Régulièrement dans son parcours elle aborde la figure symbolique du cercle. Ses dernières recherches sont centrées sur cette problématique. Comment inscrire le signe dans un cercle et comment traduire les notions d’éternité, d’infini, d’esthétique ? Ses compositions reflètent la quête de l’essentiel et questionne l’espace.

Cette exposition propose quelques œuvres marquantes du parcours de la plasticienne et met en résonnance ses derniers travaux.

[trx_block align= »center » title= »Prochaine exposition et vernissage » subtitle= »Suivre l’actualité » line= »show » description= »Vous souhaitez connaitre les prochaines artistes qui seront exposées, et les dates prévues de vernissage ?
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[trx_block align= »center » title= »Les précédentes expositions » subtitle= »Histoire de la Galerie O Cinq Sens » line= »show » description= »Les artistes déjà exposées à l’institut o cinq sens. »][trx_toggles icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_toggles_item title= »Françoise HURPIN – Du 5 juin au 30 août 2022″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Françoise HURPIN


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Françoise HURPIN
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Peintures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 8 juillet 2022
de 18h à 20h

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du 5 juin au 30 août 2022

Traditionnellement, le peintre construit sa création en ajoutant matières, couleurs, formes, et textures.
Françoise Hurpin s’attache à rompre, extraire et enlever la matière première : pour laisser venir l’œuvre, la figure.

Ce travail représente un nouveau tournant dans le processus créatif de l’artiste, en partie dû à la découverte de l’outil informatique et de ses potentialités.

Au départ, gouache noire et terre de sienne, puis, comme avec un pinceau ou un ciseau à bois, Françoise Hurpin se sert de l’outil informatique pour épurer la masse brute et lui donner ce qu’elle appelle « le souffle animateur » qui fera jaillir l’œuvre finale.

Ces œuvres impressionnent par leur profondeur et leur complexité. Intuition, instinct, histoire de l’art et création se conjuguent pour donner naissance à des espaces étrangement habités.

Pour le spectateur, il s ‘agit d ‘une sorte de rencontre invisible et sensible, sans nécessité de repère puisque tout y est mouvement.

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Naomi BURLET – Du 13 mai au 30 juin 2022″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Naomi BURLET


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Designer végétal

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Vernissage en présence de l’artiste

le 13 mai 2022
de 18h à 20h

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du 13 mai au 30 juin 2022

« Recueillir des plantes dans la nature pour utiliser leurs vertus poétiques et décoratives. »

« La nature & sa diversité dans ses formes ses couleurs, ses structures, ses matières m’inspire. Elle est ma palette de créations. »

Naomi Burlet

Le travail de Naomi Burlet est délicat comme celui d’une brodeuse de perles. Lorsqu’elle se penche sur sa feuille, sa grande amie Patience est toujours là, fidèle à ses côtés.
Pétale après pétale, ensemble, elles écrivent leurs doux poèmes.

Poème végétal, source d’émerveillement, de la musique pour les yeux, qui met le sourire aux lèvres et vous fait marcher d’un pas plus léger.

Hilde Steuperaert

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »MICHAM – Du 1er mars à début mai 2022″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

MICHAM


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Sculptures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 5 mars 2022
de 18h à 20h

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du 1er mars à débu mai 2022

Démarche :

Plasticienne, plutôt coloriste à l’origine, mon travail est très diversifé mais guidé par une même problématique plastique : voyager dans la profondeur du support (de la transparence à l’opacité, de la matière à l’absence de matière), perdre le regard (par la juxtaposition, la superposition, la multiplication des signes), aller au delà des apparences (proposer plusieurs points de vue, plusieurs sens de lecture).

Cette exposition présente un monde végétal transposé qui appelle à la méditation sur l’humain et la nature.

Les OGMS : Série de dessins à l’encre de Chine que j’ai appelés Organismes Graphiquement Modifés, herbier fantastique sur papier enduit, collé sur grillage, éléments naturels et fil de couture.

Les TOTEMS : La découverte d’une planche brute de cerisier, avec son écorce, a été le déclencheur du passage du dessin à la sculpture. Les bois de cerisier, de châtaignier, de chêne sont découpés à la scie sauteuse, façon dentelle, des projections de pigments et mille petits signes pyrogravés ajoutent un frissonnement de vie à ces arbres imaginaires.

Parcours :

Naissance à Paris 18ème
Etudes : ESAA Duperré Paris (diplôme Art textile) puis ENS Cachan (CAPET d’Arts Appliqués).
Professeur d’Arts Appliqués jusqu’en 2010.

En parallèle, pendant une dizaine d’années, travaille avec le groupe Organon (créé par le comédien-metteur en scène Patrick Morelli). Troupe théâtrale pluridisciplinaire qui allie pratique artistique et animation culturelle.
Vit et travaille dans l’Aude depuis 2011.

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Christine AGARD FOUQUE – Du 7 janvier au 28 février avril 2022″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Christine AGARD FOUQUE


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Peintures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 7 janvier 2022
de 18h à 20h

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du 7 janvier et 28 février 2022

Aller à l’essentiel…

Rechercher la trace par des effets de matières ; utiliser plusieurs techniques d’encre, de gravure, gouache, brou de noix, cyanotype, monotype, dessin au calame) et de techniques de gravure : pointe sèche, gouge, gauffrage, empreintes naturelles d’écorces ou autre, à l’aide d’une presse taille douce…

L’empreinte est là, étonnante souvent, mystérieuse parfois, mais passionnante toujours… Je me laisse guider, transitant d’un espace intérieur vers la lumière…

Il m’arrive aussi de travailler la matière sur toile de lin, à l’huile, à l’acrylique, utilisant souvent des technique mixtes. Mon attrait pour la peinture semi-figurative m’oriente le plus souvent vers l’abstraction (huile, acrylique, monotype), par laquelle les teintes rejaillissent et où s’entrecroisent suggestions, à-plats et lignes, pour souligner un rythme qui se confond en un seul mouvement : recherche de « l’essentiel » et de l’universalité en toute chose. La réalité picturale écartée, l’abstraction laisse alors au regard une libre interprétation individuelle.

Le pinceau glisse, fuse… les encres se diluent … la plume s’évade, s’envole…

Christine Agard Fouque vit et travaille à CASTRES 81 et sa région. Depuis quelques années, elle a exposé dans des galeries (OUSTAU DOU SALEYS à Salies du Béarn, Galerie ARTIEMPO Toulouse, Galerie ARTISSIMO Paris, Galerie OCCITANE Toronto, Espace BOUQUIERES Toulouse, Galerie BALDER Toulouse)
et des salons ARTEMPO Cugnaux (Prix du Jury 2017) ; ARTISTES A SUIVRE Alet les Bains 2018 ; MAGRIE « L’Art s’invite à MAGRIE » (1erPrix de la ville 2016) ; Salon d’Hiver de Léguevin (Prix du public 2016) ; salon d’ART CONTEMPORAIN de Caussade et de St Antonin Noble-Val ; salon de Frouzins, salon de l’UAFPC Yport, Majorat Villeneuve Tolosane)… Chez des particuliers…

Après un passage « éclair » de quelques mois dans ma propre galerie/atelier à Lavaur, je suis désormais installée tout près de Castres, dans un lieu propice à la création, à la campagne.

« Les travaux de Christine Agard Fouque expriment une lumière bien particulière, tantôt riche et violente, tantôt parcourue de nuances mêlées ou de gris imprégnés de lyrisme ». J.J. SPÉNALE

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Hélène COMMENGE – Du 2 novembre au 31 décembre 2021″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Dominique BOISARD


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Peintures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 5 novembre 2021
de 18h à 20h

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du 5 novembre au 31 décembre 2021

Pinceaux, éponges, doigts, couteaux, …
Jouent avec la couleur.
Vertige

 

Commencement d’un voyage envoûtant et exigeant.
Plongée, immersion dans couleur et matière.
Explorer, voir, aimer, s’exaspérer,
Se perdre, recommencer.
Naufrage

 

Abandonner, conserver, hésiter, patienter,
Choisir d’autres chemins, puis d’autres…*

 

Ressentir, écouter,
Un souffle nait face à moi.
Laisser émerger ce qui vient
L’ accompagner vers l’équilibre
Reconnaître ce moment

 

C’est là. J’y suis.

Hélène COMMENGE

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Dominique BOISARD – Du 10 septembre au 31 octobre 2021″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Dominique BOISARD


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Peintures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 3 septembre 2021
de 18h à 20h

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du 2 novembre au 31 décembre 2021

Tout simplement

Dominique Boisard a touché à plusieurs disciplines dans sa longue carrière d’artiste. Elle a notamment produit des tableaux en tissus appliqués, des aquarelles, et même des bronzes et céramiques.

Lors de son exposition dans nos murs, elle exposera surtout des huiles sur toile, oeuvres fortes et franches d’une simplicité désarmante et bienfaisante. Ses tableaux apportent repos et paix à nos âmes secouées.

Hilde Steuperaert

 

À propos de Dominique BOISARD, Artiste plasticienne

Après avoir peint l’océan sous toutes ses formes et couleurs pendant de longues années, à l’aquarelle et à l’huile, il m’est apparu nécessaire de retrouver la simplicité des toiles découpées de mon premier mode d’expression, en tissus appliqués, de simplifier les formes et les compositions, de chercher des rythmes fondamentaux et de faire vibrer les couleurs.

Matisse, Delaunay et Poliakoff ont très certainement joué un rôle déterminant dans ma démarche. Les plans colorés qui s’imbriquent et s’interpénètrent, s’ordonnent et s’agencent naturellement, jouent de leur rapport entre eux. Ils m’aident ainsi à structurer la toile.

Dominique Boisard

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Danielle BERTHOLDT – Du 1er septembre au 31 octobre 2020″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Danielle Irène BERTHOLT


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Sculpture, peintures & dessins

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Vernissage en présence de l’artiste

le 4 septembre 2020
de 18h à 20h[/trx_highlight]

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du 1er septembre au 31 octobre 2020

Il est des artistes du contournement et d’autres du face à face. Dit autrement, il est des artistes de l’archétype (Picasso) et d’autres de l’individu (Lucian Freud). Ceux du contournement posent l’œuvre avant d’œuvrer. Ils l’inscrivent dans une mythologie spécifique, abordent la problématique du thème, du sujet, et, depuis plus d’un siècle, celle de la construction/déconstruction, celle aussi (surtout) du nouveau. Les embûches repérées liées à ces choix sont l’illustratif, l’anecdotique, le formalisme, l’esthétisme, le décoratif. Et, lié au temps du propos, le risque de dater, le risque du fugace, tant il reste difficile de creuser assez profond pour tenir à la fois le nouveau (l’absolument nouveau) et l’universel, ce noyau dur de la durée.

D’autres, et Danielle Irène Bertholdt me paraît relever de ceux-ci, sont des artistes du face à face. Ils partent du constat que le dessin (de Lascaux à Picasso), la sculpture, sont des arts qui évoluent peu dans le temps. La nouveauté et la construction / déconstruction ne retiennent pas leur priorité. Ils envisagent pour leur part, bien plus, dans le temps, le défilé des fortes personnalités qui animent l’Art. Ils choisissent ou se laissent choisir par la vie.

C’est la réalité qui fonde pour eux le mystère de l’être. De leur point de vue, le réalisme, ce mot du XIX ème siècle, vient brouiller les cartes et la vision. Déjà ils posent la question : « Qu’est-ce que le réel ? ». Ce qui écarte les simplismes et les enfermements. Pour cette famille d’esprit, l’occurrence du vivant devient un garde-fou aux modes, aux maniérismes, aux complaisances. Débarrassés du « nouveau », ils se trouvent très proches de refonder une nécessité. Nécessité qui se confond avec une présence. Ce qui ne veut pas dire qu’ils encombrent leur œuvre avec tout le vivant, qu’ils en occupent toute la place. Ils préservent le mystère, ils ne l’ajoutent pas, ils ne le mettent pas en scène.

Faisant partie de ces tenants du face à face et en «bâclant les siècles» je citerai quelques phares : Holbein, Rembrandt, Velasquez, Goya, Van Gogh, Lucian Freud. Tous mettent leur essentiel à convoquer la présence. Pour eux, la présence est le vrai mystère, illimité.

La vie d’un sculpteur reste une aventure. Aventure semée de rencontres qui confortent l’artiste, le confirment à lui-même. Choc de Rodin devant les Michel-Ange de l’Académie à Florence. Là pour lui est enfin révélée l’évidence du lien entre le sensuel et le sacré. Chez Danielle Irène Bertholdt, indélébile reste sa rencontre avec Carpeaux, le groupe de La Danse surtout, et avec tout Rodin. Elle y découvre dans les corps, la chair, la peau, le secret d’une transcendance, comme, différemment, elle l’avait constaté dans l’art africain, dans la sculpture romane.

Sa formation, aux Beaux-Arts de Metz, de peintre abstrait, écarte pour elle le danger du mot à mot pour la placer d’emblée dans la structure large, dans le monumental (ce n’est pas une question de taille). Structure qui n’est jamais là pour elle-même mais toujours au service de l’apparition, de la présence convoquée, espérée. Le drame se joue là, l’artiste agit, mais seule la forme dit. Ne jamais prendre sa place, ne jamais faire dire. Sa sculpture s’élabore sur une juste succession d’intuitions plastiques sous le contrôle de « l’œil tactile » questionnant sans cesse la présence ou pas de la sensualité. Ici, un « faire nouveau » paraîtrait plus qu’obsolète, inadéquat.

Charles de Rodat – Mai 2017

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Elisabeth LE CALVEZ – Du 1er juillet au 31 août 2020″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Elisabeth LE CALVEZ


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Encres & Gaufrages

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Vernissage en présence de l’artiste

le 10 juillet 2020
de 18h à 20h[/trx_highlight]

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du 1er juillet au 31 août 2020

Mon but : Créer un univers et laisser passer un peu de soi par le choix des outils, des couleurs, du support, pour la liberté qu’offre l’encre qui fuse sur le papier.

Influencée par l’Art asiatique, en m’inspirant de Zao Wou-Ki, j’essaie d’aller vers l’essentiel.

« Peindre, peindre. Toujours peindre. Encore peindre. Le mieux possible, le vide et le plein – Le léger et le dense – Le vivant et le souffle »

« Le vide et le plein » tout est une question d’équilibre. Je retravaille souvent par une mise en page du tableau.

« Le vivant et le souffle » hymne à la vie, à la nature. La fluidité de l’encre, à la manière dont elle trace son chemin sur le papier comme les rivières façonnent un paysage, comme la sève circule dans les arbres, matérialise bien cette énergie vitale.

Quoi de plus épuré qu’un gaufrage.

Mise en valeur aussi grâce à quelques éléments extérieurs (corde, éléments de la nature).

Ce qui fait la synthèse de ces recherches, se concrétise aussi par un travail autour du livre d’artiste.

Je suis sensible à la poésie contemporaine. Je participe d’ailleurs depuis quelques années au festival du livre d’artiste de Saint Antonin Noble Val, en présentant quelques livres à exemplaire unique.

Entièrement fait main, ces livres me permettent de travailler de beaux papiers, d’innover quant à la technique utilisée (collage, calligraphie, encre et la gravure – à laquelle je m’initie avec persévérance).

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Nelly BONNEFIS – Du 1er mars au 27 juin 2020″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Nelly BONNEFIS


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Gravures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 6 mars 2020
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 1er mars au 27 juin 2020

À propos de Nelly BONNEFIS, Artiste plasticienne

L’expérience créatrice constitue pour moi une nécessité, une voie de réalisation personnelle. Elle fonctionne comme un projet de recherche qui vise à récupérer les traces d’une histoire et à en retrouver le sens. C’est un processus qui m’amène à cheminer vers l’intime, l’indicible.
J’inscris sur les tableaux la fragilité de nos existences, notre présence et notre effacement à terme. Toutes mes peintures sont pour moi au point de départ sans objet. Je suis dans l’ignorance la plus totale tant que le travail pictural n’a pas fait naître le tableau sur la toile ou le papier.

L’expérience de la peinture amène forcément un questionnement et m’oblige à aller de plus en plus loin. Chaque tableau fonctionne comme un passage d’une expression à une autre, d’une question à une autre adressée au monde.

Chaque étape de mon travail m’oblige à déconstruire mes représentations, à chercher dans les sphères les plus opaques un sens, un signe afin que quelque chose advienne d’inattendu qui me contraigne à un inventer un savoir nouveau. Chaque tableau de la série est à la fois unique et partenaire d’autres pièces qui s’inscrivent dans la même aventure.

Techniquement la plupart de mes tableaux sont réalisés en technique mixte .La base de mon travail est le plus souvent réalisée à la presse sous la forme de monotypes. J’interviens dans un deuxième temps soit à la pointe sèche, en gravure ou tout simplement en dessinant à la mine de graphite (voir le site ).

Mes grands formats sont réalisés à la peinture à l’huile ou à l’acrylique.

J’ai par ailleurs réalisé plusieurs livres d’artistes avec des amis poètes qui ont été édité aux éditions Réciproques et chez Az’art éditions.

Nelly Bonnefis

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Claire de SOISSONS


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Gravures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 3 janvier 2020
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 3 janvier au 29 février 2020

«La répétition d’images me passionne.
Elle ouvre une fenêtre sur les échos d’univers foisonnants, inspirés du rythme de la vie, du cycle des saisons et d’une nature sauvage et généreuse. Le public voyage à travers des formes à la fois différentes et ressemblantes qui se déforment et se transforment au gré des assemblages et des superpositions.
J’invite le public à sauter dans l’image, à y rencontrer textures et matières, à se laisser imprégner par de vibrantes et vivantes sensations. »

Claire de Soissons

Claire de Soissons est née en Rhodésie du Sud, actuel Zimbawe, dont elle retiendra principalement la chaleur, les sons amplifiés des insectes au cœur d’un paysage luxuriant arrosé par les pluies tropicales. Cette sensation, elle la retrouvera un peu plus tard au sein des boccages du Norfolk en Angleterre. Tout son travail s’inspire de ces premières émotions.

Après trois années d’étude d’Arts Plastiques l’école Saint Luc de Bruxelles, Claire apprendra la gravure et la sérigraphie à l’Ecole 75 de Wolluwé-Saint-Lambert (dont elle sortira avec la Grande Distinction). Mais c’est à l’Académie des Beaux Arts de Boitsfort à Bruxelles qu’elle peaufinera son savoir-faire. Au fil de son apprentissage, reviendront alors en mémoire les énormes insectes et coléoptères de sa petite enfance. Des histoires colorées d’une vie primitive et grouillante. Une série sur l’Afrique aime à mélanger couleurs, textures végétales et animales pour un rendu d’une grande intensité lumineuse. Aujourd’hui, Elle joue avec différents supports pour faire se rencontrer des motifs qu’elle superpose à l’envie. Ville et nature semblent s’être réconciliées. Les insectes s’associent aux voitures, les voitures aux arbres. Dans la ville aussi, la nature perpétue la vie…

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Anne-Sophie MIGNÉ


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Céramiste sculpteur

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Vernissage en présence de l’artiste

le 15 novembre 2019
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 1er novembre au 31 décembre 2019

La création est pour moi une question de territoire, le seul que je reconnaisse au cours de mes pérégrinations et qui paradoxalement n’a pas de frontière. Je suis autodidacte et à ce titre pleinement consciente de ce qui me nourrit au plus intime. Là où on attend un style, où on attend une démarche, on attend finalement une conscience pour organiser tout cela, cet ensemble. Or dans ce qui se montre là préside ou le plaisir ou la souffrance, souvent les deux ensemble. Ce qui organise en définitive toutes ces oeuvres, cette disparité apparente (seulement), ce sont deux mains posées sur la terre, tour à tour caressantes, perforantes, déchirantes. Cette entreprise est d’abord une histoire de corps.

Et puis il ne faut pas se leurrer, on y met de l’intello, là où ça arrange, et souvent après coup parce que sur le moment il n’y a rien de tout cela ! Ni croquis ou si peu, ni mot ou seulement une mise en bouche. Des images, oui ! en pagaille, des télescopages à n’en plus finir. Et puis soudain un tremblement dans les doigts comme une bouture qui prend et là, cet autre tremblement de conscience, plus douloureux: celui de devoir s’y mettre et comprendre qu’on tient un fil. Tel un équilibriste on a hâte d’arriver au bout et de ne plus avoir à retenir son souffle.

Alors recherche d’identité, sans doute, défi de l’altérité, certainement, dans l’attente du regard de l’autre qu’il faut éviter le plus possible, oui … tout cela surgit inévitable, mais si on cherche à maîtriser, éperdument, cela échappe et nous laisse interloquée.

Et pourtant, et pourtant on y retourne avec rage!

Et quand on s’y attendait le moins, l’objet, la forme extrêmement vivante se dessaisit de nous … tout recommence alors comme une mer.

Anne-Sophie MIGNÉ

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Martine BURGLIN – Du 5 septembre au 31 octobre 2019″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Martine BURGLIN


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Vernissage en présence de l’artiste

le 6 septembre 2019
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 5 septembre au 31 octobre 2019

Une proposition esthétique calme pour un acte subversif…

Une longue pratique de la musique modale, du chant à voix nue dans les chapelles romanes, ont tracé en moi un sillon profond qui sous-tend mon travail plastique.

J’y reprends ce qui me touche : la lisibilité, la profondeur, peu d’éléments.

Un minimalisme qui laisse de la place pour celui qui écoute… celui qui regarde.

Entre ligne, volume, proportion, ombre et lumière infusent dans des rapports de masses,

un dialogue du vide et du plein avec le moins de bavardage possible…

Fluidité de l’encre et force du métal, fragilité du papier et pérennité du bois.

De ces rencontres inédites, graphiques, abstraites, sensuelles aussi, j’attends une émotion esthétique, une évocation.

Comme dans la musique modale, le dépouillement voulu de la « mise en scène », l’équilibre, l’apparente simplicité, invitent à la contemplation, au silence…

J’ai le goût du silence intérieur… … extérieur aussi parfois!

Martine Burglin

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Mathilde POULANGES – Du 1er juillet au 31 août 2019″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Mathilde POULANGES


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Embaumeuse de livres…

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Vernissage en présence de l’artiste

le 5 juillet 2019
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 1er juillet au 31 août 2019

Une proposition esthétique calme pour un acte subversif…

Oints de verre liquide, poudrés de silice, fardés d’oxydes naturels, parés d’or ou de cuivre, lentement, j’apprête les livres abandonnés pour leur crémation. Et étrangement, le fruit de l’accouplement improbable de ces ennemis ancestraux ressemble à de l’écorce. Expression du désir profond des livres de retourner à la forêt originelle ou tour de magie qui engage le feu à leur donner ce qu’il vole aux arbres ?

Mon travail prend la forme d’une archéologie du futur. Il soulève autant la question de l’illusion (ce que l’on voit, ce que l’on interprète, ce qui est) que celle du renouvellement circulaire de la matière… Allégorie de l’impossible retour et ode à la nature sauvage, cette troublante matière interroge le spectateur sur son propre rapport aux livres et à leur destruction. L’étonnante métamorphose des livres en écorces offre l’espoir d’une émouvante transcendance…

Mathilde Poulanges

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Catherine OLIVO & Marie BESCHE – Du 3 mai au 29 juin 2019″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Catherine OLIVO & Marie BESCHE


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Dessins, gravures, céramiques

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Vernissage en présence des artistes

le 3 mai 2019
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 3 mai au 29 juin 2019

À propos de Marie BESCHE

Mes paysages sont la plupart du temps croqués sur le vif dans une première couche de vernis. Les outils de la gravure permettent d’enrichir ce croquis de traits fins, d’intensités différentes, de matières légères. Dans le temps long de la gravure s’immisce la rêverie, l’anecdote, les souvenirs, chaque morsure amenant une nouvelle morsure. Le dessin se fabrique ainsi, par un échange entre la technique et mon inspiration.

À propos de Catherine OLIVO

Après 15 ans de sculpture, le textile m’appelait sans que je sache vraiment ni pourquoi, ni comment. J’ai découvert les bases de la couture et de la broderie, et ensuite les liens se sont fait comme une évidence, entre l’argile et le fil, avec la dentelle au crochet. Je prends plaisir à associer les matières, à élaborer des formes avec l’argile et à sentir la souplesse du fil sous mes doigts. Je travaille le grès, puis une fois la pièce cuite, le coton ou le lin. Ce qui m’inspire c’est l’infiniment petit, les cellules, la nature, l’émergence de la vie, les cocons. Mon travail est organique, parfois archaïque. Il invite à la douceur, au féminin, à la vie.

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Colette BESSAC-LEFRANC – Du 1er mars au 30 avril 2019″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Colette BESSAC-LEFRANC


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Toiles, tissus

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Vernissage en présence de l’artiste

le 1er mars 2019
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 1er mars au 30 avril 2019

« Exposer ses travaux, c’est aussi s’exposer, c’est également exposer sa démarche … Je vous présenterai donc « ma recette »… Mise au point depuis plusieurs décennies elle nait de l’amour des tissus, des étoffes de leurs couleurs, de leurs textures, de l’émotion qu’elles me procurent à l’instant où je les manipule.

Je choisis de rapprocher trois, quatre voire une dizaine de tissus différents mais ayant en commun une dominante colorée correspondant à l’idée que je vais mettre en œuvre. L’idée s’impose à moi, « je ne cherche pas je trouve » comme aurait dit Picasso… Au hasard de mes rencontres, dans les revues, les livres ou dans le spectacle toujours renouvelé de la nature, « je cueille » le thème que je vais mettre en œuvre.

Sur un fond de tissu, je dispose des morceaux de tissus dont les formes servent le thème que j’exécute. Les morceaux de tissus souvent de petites dimensions ont la fâcheuse tendance à se disperser… J’ai eu l’idée de les fixer momentanément avec une matière non tissée et transparente, qui plus est, se dissout dans l’eau après que je les eus fixés par une piqûre à la machine à coudre. Cette piqûre/machine me permet de fixer les fragments de tissus sur le support et m’incite à accompagner les formes sous jacentes par une recherche de piqûres rythmiques.

Enfin, « l’œuvre » est plongée dans l’eau afin d’être débarrassée de la matière hydrosoluble… Et là, surprise ! Le traitement imposé par cette baignade obligatoire, a sa vie propre… Il est en effet très difficile de prévoir et de maîtriser les « crispations du tissu ». Et pour terminer « ma recette » en termes culinaires, il arrive qu’échappant à la rigueur de cette démarche le plat soit souvent agréable à regarder… sinon à déguster ! »

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Sarah Duval – Du 7 janvier au 28 février 2019″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Sarah DUVAL


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Toiles, mix média

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Vernissage en présence de l’artiste

le 11 janvier 2019
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 7 janvier au 28 février 2019

« Jeune pousse dans le monde des artistes, Sarah expose ce qu’elle appelle ses « réalisations ». Dès l’enfance, observatrice, sensible à la notion l’équilibre, au graphisme et à l’esthétique de la nature, elle s’exerce au modelage, au pliage et déjà au dessin et à la peinture. Après 4 années d’étude en art floral, et honorée du titre du « meilleur apprenti de France », un besoin radical d’aller plus loin dans la création lui fait intégrer l’école de Condé de Bordeaux pour un cursus de design d’espace (architecture d’intérieur, paysagisme et décoration). Tout en s’investissant avec passion dans cette formation, elle continue d’explorer, de chercher, d’expérimenter à travers des créations sur toiles.

Intéressée par le Mix Media, le fond de ses toiles pour l’essentiel, est travaillé en texture. Les toiles exposées peuvent s’organiser en trois thématiques: la première rappelle son passage dans l’art floral et son habileté au pliage, la seconde plus douce dans les teintes, est une invitation au rêve. Enfin pour la dernière, Sarah s’est attachée à travailler la texture et les différences sensibles de reliefs en accord avec la couleur. Cette troisième série fait appel à l’imagination tant de l’artiste qu’à celle de l’observateur, qui, avec un oeil neuf peut se créer sa propre histoire à travers les mouvements pigmentés.

Depuis novembre 2015 l’institut « °o cinq sens » s’est affirmé dans sa volonté de recevoir exclusivement des femmes artistes et d’offrir son lieu pour encourager des talents en devenir ou déjà reconnus. C’est la première fois que la galerie accueille une jeune pousse, c’est la première fois que Sarah expose ses réalisations. « Travailler sur une nouvelle toile me fait ressentir plusieurs émotions, et n’est ce pas l’objectif d’un travail exposé ? De voir et de ressentir ». À présent, c’est à chacun d’apprécier, de dire, d’écrire, de faire le choix de passer ou de s’arrêter un instant et de profiter d’un moment. »

Si vous souhaitez me contacter : 06 35 40 72 12 • Web : instagram.com/sarah_duval_/

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Catherine Gaïo – Du 5 novembre au 31 décembre 2018″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Catherine GAÏO


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Estampes, gravures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 9 novembre 2018
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 5 novembre au 31 décembre 2018

« Peintre autodidacte, mon travail est essentiellement basé sur la trace, l’empreinte, le signe. J’exploite soit la technique mixte soit l’encre de gravure et pointe sèche que je travaille avec une presse à taille douce. L’œuvre se crée petit à petit sans idée préconçue, pour moi il est important que la peinture entre avec une sensibilité plus ou moins collective. »

N’allez pas là où le chemin peut mener. Allez là où il n’y a pas de chemin et laissez une trace. – Ralph Waldo Emerson.

Si vous souhaitez me contacter : 06 66 65 87 84 • Web : catherine-gaio.fr

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Martine Bénabou – Du 3 septembre au 31 octobre 2018″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Martine BÉNABOU


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Estampes, gravures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 7 septembre 2018
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 3 septembre au 31 octobre 2018

« Le noir possède l’infini des couleurs, c’est la matrice de toutes. C’est dans l’inachevé qu’on laisse la vie s’installer. Si on tente d’achever le tableau, disait le maître, il meurt. On rajoute toujours un coup de pinceau en trop. » Extraits de Passagère du silence, Fabienne Verdier.

La Galerie O Cinq Sens est un lieu d’exposition particulier, structuré par des éléments omniprésents : cheminée, cadres, portes, croisées, fauteuils, meubles, extérieur, etc. Dans un premier temps, ces éléments architecturaux conditionnent le choix des œuvres. Dans un deuxième temps, la luminosité variable des espaces, les reflets des fenêtres ainsi que les sonorités sont étudiés. Dans un troisième temps, la fonction première du lieu est prise en compte : salle d’attente, passage. Ainsi l’imaginaire peut s’exprimer librement pour essayer de dialoguer avec les acteurs du lieu : lecture, croisement, rencontre, murmure, échange, discussion, réflexion, recherche du bien être, lâcher prise, rêverie, etc. L’exposition propose une sélection de gravures et d’encres dont les thèmes sont des invitations multiples à la rêverie et au voyage intérieur. Formes et lignes, vide et plein rythment une partition ponctuée de silence. Martine Bénabou

Plasticienne formée à l’Ecole des Beaux Arts de Castres, Martine Bénabou se consacre depuis près de trente ans à la pratique de l’estampe traditionnelle. Elle aime travailler parallèlement des séries graphiques et d’autres plus texturales. Aujourd’hui elle poursuit son voyage artistique à la recherche d’expressions nouvelles, elle décline les techniques de l’estampe sous toutes ses formes du mini au maxi format en passant par les livres d’artiste. Elle associe également la gravure à de multiples médiums dans des réalisations personnelles ou en duo avec d’autres artistes.

Si vous souhaitez me contacter : 06 74 34 71 61

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Françoise Michaud – Du 2 juillet au 31 août 2018″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Françoise MICHAUD


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Calligraphie, travail à base de pigments, de fusain, d’encres et d’aquarelles Gansai

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Vernissage en présence de l’artiste

le 6 juillet 2018
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 2 juillet au 31 août 2018

J’ai démarré la calligraphie il y a une dizaine d’années avec Florence Robert et j’ai ensuite poursuivi mon apprentissage auprès d’Anne Sacramento et de Christel Llop. Dans un premier temps, je me suis consacrée à l’apprentissage de la calligraphie latine traditionnelle mais très rapidement j’ai senti qu’en jouant avec les lettres on pouvait ouvrir un espace de création immense.

Aujourd’hui je travaille principalement la gestuelle sur différents papiers avec de l’encre mais aussi de la gouache, de l’aquarelle, des pigments, le fusain auxquels j’associe parfois des collages. Mes outils de bases restent les plumes mais j’aime aussi utiliser des outils moins classiques comme le tire-ligne, le cola-pen, la pipette…. En approchant la calligraphie, j’ai découvert un moyen de mettre en valeur le fond et la forme d’un texte qui m’inspire souvent une couleur, une atmosphère autour desquelles viennent se greffer d’autres couleurs, des traces et des formes. Le texte peut être lisible ou illisible mais il reste le fil conducteur. J’apprécie écrire les textes d’auteurs que j’ai pu rencontrer ou avec qui j’ai pu discuter. Une première collaboration avec l’auteur toulousain Benoît Séverac m’a permis de travailler sur un texte complet, sa nouvelle Une Peur Bleue, en explorant une seule couleur, le bleu.

J’ai ensuite travaillé sur les textes de la poétesse et essayiste algérienne Habiba Djahnine, extraits de son recueil Fragments de la maison Enfin, pour cette exposition, ce sont les textes poétiques de Claude Faber, écrivain, poète et journaliste qui m’ont inspirée. J’ai privilégié un travail à base de pigments, de fusain, d’encres et d’aquarelle Gansai.

Si vous souhaitez me contacter : 06 76 05 52 09

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Nabarus – Du 4 mai au 30 juin 2018″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

NABARUS


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Monotypes, collages, acryliques, gravures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 4 mai 2018
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 4 mai au 30 juin 2018

Les personnages de Nabarus se jouent des techniques et défient le temps. Ils apparaissent au gré des approches (monotypes, collages, acryliques, gravures) avec leurs allures caractéristiques, qui semblent familières. Les visages traversent les siècles, aux moues médiévales aussi bien que contemporaines. Cette intemporalité qui peut évoquer les fresques antiques ou des dessins d’alchimiste, est confortée par le choix des couleurs et le travail des fonds, que n’auraient pas renié les explorateurs abstraits du siècle passé. Ocres vieillis, terre ancienne, rouges profonds, touches de bleus ou jaunes resplendissants, la palette confère un aspect précieux d’enluminure magique aux œuvres de Nabarus.

Il y a aussi une sorte de naïveté brute maîtrisée, d’approche primitive, qui s’effacent pour laisser place au mysticisme, aux mystères oniriques d’un monde insolite, inhérent à l’artiste. On peut trouver du Redon, du Moreau ou du Munch dans ses travaux, une tendance expressionniste qui exalte les couleurs, les fait chatoyer, festoyer dans une sarabande joyeuse et enivrante.

Quant à ses « maisons », ce sont des architectures improbables, des entassements imaginaires où chaque « case-appartement » offre un univers à elle seule ; des compositions ludiques qui invitent au voyage à coup sûr, tours de Babel à gravir pour accéder à la réalité du rêve. Ce sont autant de cabinets de curiosités géographiques, où l’œil se plaît à s’installer, peuplant l’espace au gré de ses fantaisies. Chaque élément du collage est une ouverture sur l’âme de l’artiste. Nabarus est née en 1971 et vit dans la région de Toulouse.

Jean-Henri Maisonneuve « Brigade Contemporaine »

Si vous souhaitez me contacter : Web : nabarus.com

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Alexe Sawatzki – Du 5 mars au 30 avril 2018″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Alexe SAWATZKI


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Peintures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 9 mars 2018
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 5 mars au 30 avril 2018

Naissance

N’y a-t-il pas une saison plus appropriée que le printemps qui approche pour présenter NAISSANCE, le moment où tout commence à germer, à bourgeonner, à naître ? Les peintures sur papier japonais d’Alexe Sawatzki nous font plonger dans le bleu. Les eaux. Là où toute vie prend forme. Au commencement est le souffle. Un petit point naît et puis un autre. Des petits points qui s’approchent l’un de l’autre. Se rencontrent. Forment une croix qui ne tardera pas à s’étirer, à bouger pour devenir mi-arbre, mi-homme, mi-oiseau, mi-fantôme. Dansant. Se dessinent des continents dorés dans l’océan. Pour jaillir. Dans la lumière. Tout est vie. Des voix surgissent, murmurent, appellent, crient, chantent. Des sons qui se baignent dans les profondeurs. Les bleus. Le bleu est lié à l’eau, au ciel, au rêve et à la vie, à l’infini, à la légèreté et à la liberté, le doré est lié à la richesse et à la spiritualité. NAISSANCE est la continuité des Messagères de la lumière qui se glissent sur le sentier de la découverte d’une autre réalité unissant le monde réel et le monde sensible des rêves. Les bouts de ficelle, les thèmes chers à l’artiste sur la fenêtre, la lumière, l’âme, l’envol ou bien encore la danse, s’y tissent ensemble.

Alexe Sawatzki est née à Munich en 1966. Elle s’installe, en 1988, en France où elle fait ses études en Arts Plastiques. Expose depuis 1994. L’artiste vit et travaille à Appelle (Tarn).

Si vous souhaitez me contacter : Web : alexesawatzkiplasticienne.com

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Christine Kurek – Du 3 janvier au 3 mars 2018″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Christine KUREK


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Peintures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 12 janvier 2018
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 3 janvier au 3 mars 2018

Que dire du travail de Christine Kurek ?

J’ai suivi le travail de Christine Kurek durant bien des années. Dès ses débuts, elle excellait dans l’aquarelle puis s’attacha davantage au dessin pour s’adonner finalement avec une certaine délectation à la peinture. Que ce soit dans la figuration où elle s’est nourrie d’un vocabulaire plastique d’une grande richesse ou dans l’abstraction qui en a résulté, Christine nous donne à voir une perception du monde d’une infinie sensibilité. Tantôt parcours, tantôt réseaux, tantôt fluidité ou ruissellements, tantôt taches aux formes hésitantes, discrètes ou qui s’affirment avec force, tantôt matières, tantôt aplats, tantôt couleurs rompues ou couleurs vives qui s’interpellent, s’entrelacent, se superposent ou s’ entrechoquent, son travail a quelque chose de l’écorce terrestre ou de tout un monde haut en couleurs où l’émotion est reine. Il était temps que Christine Kurek sorte de sa réserve, de son silence, de sa discrétion. Il était temps qu’elle nous fasse part de son émerveillement.

Danielle Bertholdt, artiste plasticienne, décembre 2017.

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Ghislaine Macara – Du 2 novembre au 29 décembre 2017″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Ghislaine MACARA


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Peintures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 10 novembre 2017
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 2 novembre au 29 décembre 2017

J’ai vu le jour en Avignon en 1949… Très jeune déjà, j’éprouvais l’envie de dessiner ou de peindre ce qui me plaisait, me touchait… un animal, un bout de nature, source d’inspiration inépuisable. Après avoir testé différentes techniques au fil de mes rencontres, études auprès de peintres professionnels, j’ai trouvé ma préférence au travers de l’huile. Mon domaine d’expression est le réalisme et même l’hyperréalisme. Mes tableaux sont très longs à réaliser car je commence toujours par préparer mes toiles afin d’obtenir une surface très lisse. Ensuite, je peins par de nombreuses couches fines, diluées, superposées (glacis). Je travaille sur deux ou trois toiles en même temps, ce qui me permet de laisser un temps de séchage indispensable entre les couches. J’essaie de retrouver, au travers de ma peinture les émotions ressenties lors de mes moments d’intimité avec la nature: observer, écouter, découvrir, admirer… Mes premières expositions ont débuté en 2001 dans la région du Tarn, où je réside actuellement, puis dans diverses villes de France et en Espagne. J’ai obtenu des prix du Public, de Jury, des encouragements… et je suis heureuse aujourd’hui de pouvoir partager mon plaisir.

Si vous souhaitez me contacter :

29, Promenade de l’Autan – 81170 LES CABANNES • 06 27 42 57 88 • ghislainemacara49.com

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Aline Bourdiol – Du 4 septembre au 29 octobre 2017″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Aline BOURDIOL


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Travail de la terre

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Vernissage en présence de l’artiste

le 8 septembre 2017
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 4 septembre au 29 octobre 2017

J’ai trouvé mon identité : LA TERRE. J’ai découvert le travail de la Terre tardivement. Il serait plus juste de dire j’ai rencontré la terre. La Terre. Pourquoi ? Terre d’exil ou Terre d’asile. La Terre pour être de quelque part. D’ici ou d’ailleurs. Planter mes mains dans la glaise molle et humide, avoir l’ impression que mes membres s’enracinent dans l’argile froide, insufler mon énergie. Sentir mes doigts se liquéfier et se répandre à l’intérieur. Voir la substance s’enrouler autour de mes bras. Faire jaillir de la matière informe des objets : témoins voyageurs du temps qui passe, observateurs immobiles d’une vie partagée. Mon rapport avec la Terre, ma relation, étroite, intime, charnelle, par dessus tout tumultueuse. Je découpe un morceau comme un enfant avec envie et gourmandise. Puis je le malaxe, le pétrit, je l’étire. Petit à petit les gestes s’accélèrent, deviennent plus forts et plus puissants, elle résiste et se rebelle. Pousser la fibre jusque dans ses derniers retranchements, chercher les frontières de la rupture, la matière ne m’impose aucune limite, aucune contrainte . Dans cette danse frénétique, ce corps à corps, elle m’a permis de comprendre toute la violence qu’il y a parfois en moi. Elle m’offre le calme et la sérénité. Je regarde mon travail et je revendique à travers lui le droit d’être imparfaite. Il est centré sur la dualité et l’acceptation de soi, de ce coté obscur, inavouable qui nous hante. Je suis un être humain dans toute sa complexité. La Terre griffée, meurtrie puis, polie avec douceur et délicatesse, cuite et enfin enfumée dans un feu de bois. Je ne suis pas à la recherche de la performance technique. Juste de la Terre, de l’Eau, de l’Air et de Feu : la Vie dans toute son ambivalence. Je suis en quête de la beauté résultat d’un acte violent. J’aime voir les regards se poser, l’émotion ou le questionnement des personnes: Provoquer les réactions du spectateur. Là le processus de création prend tous son sens.

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Martine Bénabou & Sklaerenn Imbeaud – Du 3 juillet au 31 août 2017″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Martine BÉNABOU & Sklaerenn IMBEAUD LAURENT


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Papier, verre, métal

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Vernissage en présence des artistes

le 21 juillet 2017
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 3 juillet au 31 août 2017

Le projet de travailler ensemble est né de plusieurs participations à des expositions collectives qui ont mis en évidence des analogies graphiques et thématiques voisines dans nos travaux personnels. Depuis bientôt quatre ans, ponctuellement nous essayons de dégager du temps pour réaliser en duo des pièces mêlant, papier, verre et métal, rencontre improbable de techniques et de matériaux. Il s’agit d’installer une véritable synergie entre nos deux pratiques pour aller vers une écriture commune.

Notre travail prend en compte la spécificité des matériaux choisis : légèreté du papier, reflet du métal et texture du verre. Le graphisme épuré est le point de départ des lignes du montage au plomb qui structure nos compositions sculpturales. Par la gamme des verres choisis et l’éventail de techniques telles que inclusion, collage, fusing, thermoformage, grisaille, nous établissons des rapports entre les matériaux qui s’appuient sur des oppositions : opacité et transparence, vide et plein, verticalité et horizontalité, matière saturée et texture minimale. Jusqu’à présent notre démarche plastique en binôme consistait à faire dialoguer nos expressions personnelles en cherchant des moyens techniques pour les juxtaposer dans des compositions combinatoires. Actuellement nous faisons évoluer nos recherches en travaillant les superpositions et en intervenant ainsi sur le travail de l’autre.

Dans un style japonisant et une gamme chromatique sobre, nos expositions tissent les lieux d’œuvres personnelles et de réalisations en duo variant du petit au grand format, selon les espaces.

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Chantal Laurent – Du 1er mai au 30 juin 2017″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

Chantal LAURENT


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Peintures

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Vernissage en présence de l’artiste

le 5 mai 2017
de 18h à 20h30[/trx_highlight]

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du 1er mai au 30 juin 2017

Les tableaux de Chantal Laurent plongent le regard dans un monde floral insolite et surprenant, où la fragilité joue avec l’espace. L’ensemble de ses oeuvres exhale une grande féminité, renforcée par la retenue de sa touche délicate, presque aérienne.

L’univers de Chantal est en mouvement perpétuel, animé par des forces mystérieuses, opposées. Parfois, ses oeuvres célèbrent l’attirance végétale et tous les éléments convergent dans un entrelacement de liens indénouables. D’autres fois, elle fait preuve d’éclats rebelles, avec des fleurs prenant leur envol envers et contre tout.

L’espace et ses images ne sont jamais loin: certains tableaux vous emportent sur un voyage entre impressions florales et implosions picturales d’un monde lointain. Une belle promenade entre fleurs de jour et fleurs de nuit qu’on se surprend à quitter à contrecœur.

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[/trx_toggles_item][trx_toggles_item title= »Clermonde – Du 1er mars au 30 avril 2017″ icon_closed= »icon-book » icon_opened= »icon-book-open »][trx_highlight type= »0″ font_size= »12″]

CLERMONDE


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Peintures sur toile

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du 1er mars au 30 avril 2017

Toujours partir du ressenti d’un paysage, ou arbres, ou objets familiers, du re-connu des yeux. Expérience du tangible de notre incarnation sur cette terre. « Ma seule vertu réside dans la soumission à l’instinct ; c’est pour avoir retrouvé et laissé prédominer les forces intuitives et secrètes que j’ai pu m ‘identifier avec la création et m’absorber en elle… Mon art est un don d’abandon intégral de moi même » (Monet ) . Ce grand Monet qui disait encore , très humblement : « Je ne veux peindre que la beauté de l’air ».

Clermonde[/trx_highlight]

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Diamondra GUEZ


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Peintures acryliques sur toile

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du 2 janvier au 28 février 2017

Je peins et je me suis intéressée à l’histoire de l’Art et aux Arts plastiques après des études d’architecture et la pratique de ce métier. Toutes mes peintures sont ainsi structurées, dans un esprit de construction et de composition. Mes peintures sont le résultat des mouvances des couleurs et de la lumière, mes outils, tantôt pour les jumeler tantôt pour les métisser, en contraste ou en harmonie. J’aime travailler sur des points de rupture : limite marquée ou frontière incertaine, contraste d’ombre et de lumière, équilibre et déséquilibre, symétrie et dissymétrie, agité et calme, sans froisser la satisfaction de l’œil et l’équilibre des masses de l’ensemble ainsi que les parties entre elles. Ainsi à chaque peinture, avec le plaisir de peindre d’une facture gestuelle et par de multiples combinaisons, je crée des ambiances, des univers, et je laisse au spectateur une marge d’interprétation en s’y promenant et en s’imprégnant.

Diamondra Guez

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Wendy VAN DER ZEE


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Peintures

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du 4 novembre au 31 décembre 2016

Depuis mon plus jeune âge, un esprit de création m’a habité: écriture de récits et de poèmes, calligraphie, création d’une langue fictive avec son vocabulaire et sa grammaire, invention de nouveau jeux… Mon enfance, qui a débuté au centre-ville d’Amsterdam dans le milieu hippie au début des années ’70, s’est poursuivie au cœur d’un quartier multiculturel dans la ville de Breda (Pays-Bas), riche de gens de tous horizons où mes oreilles sensibles entendaient des langues étrangères tous les jours. Leurs modes de vie différents et variés m’ont inspirés très tôt. Ma curiosité et mon sens de l’humain m’ont poussés à creuser les profondeurs de ces cultures au fil des années. Avec un père professeur de géographie et un géologue passionné, j’ai eu la chance de passer toutes les vacances scolaires à sillonner la majorité des pays d’Europe et au-delà. Mon défi à la traversée de chacun des pays était d’en apprendre la langue avec des enfants de mon âge. Outre les langues, j’y ai appris leurs jeux et leurs différentes façons de se côtoyer. En 1990, j’estimais avoir fait le tour des Pays-Bas afin de m’installer dans mon pays de prédilection: la France et plus précisément la ville de Toulouse dont la chaleur et les briques roses, dès la première visite lors de mon adolescence, m’ont fait dire que mes nouvelles racines s’implanteraient ici.

En Cité Universitaire, j’étais entourée de personnes originaires de pays africains francophones et des DOM-TOM, à mon plus grand bonheur. Ces rencontres riches en apprentissage sur des cultures, qui m’étaient jusqu’alors inconnues, m’ont aussi fait connaître la France à travers les yeux d’autres étrangers. Durant toute la période de mes études, où les langues et les cultures ont pris une grande place, la création s’est essentiellement concentrée sur l’écriture autobiographique. De cette période j’ai conservé des dizaines de cahiers remplis de mes expériences de vie, le descriptif des rencontres diverses et de mes difficultés émotionnelles à affronter les responsabilités de la vie d’adulte à un âge un peu trop jeune. En 2007, la rencontre avec un musicien-compositeur d’origine kabyle ayant foi en mes capacités et idées originales, m’a permise de réaliser la création de deux chansons accompagnées de leurs pochettes CD, puis un clip musical qui a vu le jour en Algérie dont j’ai été l’auteur, metteur en scène et cameraman de façon improvisée. Pendant cette période, j’ai également réalisé des commandes bénévoles de flyers, de cartes postales et de posters pour des associations culturelles berbères. En 2010, une période de maladie de six mois, m’a immobilisée et m’a obligé à trouver des occupations ne nécessitant pas de déplacement. Le visionnage de nombreux reportages sur les peuples du monde et la lectures d’innombrables livres et thèses sur l’ethnologie, l’anthropologie, les cultures et les symboles ancestraux ont été particulièrement inspirants. Un jour, les crayons et les bouts de papiers sur ma table de chevet m’ont hurlé qu’il fallait que j’exprime les idées qui était nées dans mon esprit. Ainsi, les premiers croquis de mes dessins ont vu le jour.

La première fois où j’ai pu marcher et prendre la voiture de nouveau, je suis allée me fournir en matériel de dessin, dont j’étais dépourvue, afin de mettre un vrai « visage » sur mes croquis. A partir de là, le dessin ne m’a plus quitté et est devenu un véritable exutoire de mes émotions, de mes idées, de mon lien avec l’humain et le monde, des cultures et nos ancêtres. Pendant de longues soirées, nuits et matinées j’ai été comme habitée par les recherches ethnologiques, anthropologiques et les dessins jusqu’à en oublier de manger, de dormir …  J’ai vu arriver de nombreux levers du soleil sans me rendre compte que la nuit était passée …

En même temps, j’ai réalisé que les cultures riches, encore existantes et malheureusement déjà disparues, ont besoin d’être sauvegardées et doivent continuer à vivre. Je souhaite que mes dessins contribuent à les maintenir en vie ou bien d’évoquer la curiosité d’autres personnes pour qu’elles ne se perdent pas. Par ailleurs, je tente ainsi de faire respecter et de montrer la beauté des cultures de nos peuples minoritaires actuelles. Et me voilà confrontée à poursuivre cette route inépuisable de la richesse des valeurs humaines ancestrales.

À suivre !

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Elise LAMOTTE


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Peintures

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du 2 septembre au 31 octobre 2016

Elise, ou ce je ne sais quoi venu d’ailleurs.

C’est sa façon de voir la réalité autrement qui me touche, avec ce petit brin de poésie qui lui permet de nous rendre la meilleure part des choses. Cette vérité toute nue, elle la saisit. Puis nous la transforme tout doucement. À peine. Puis l’habille légèrement, de ce voile de transparence. L’art c’est de voir les choses autrement. De happer ce moment d’émotion. De le transmettre en bonne et meilleure forme. C’est aussi son parfum qui me touche. Ce parfum m’entraîne là-bas, où tout est mélange de vraie et de rêve. Où tout est doux. Tout doux et plus profond, plus véridiquement vrai. Elise m’emmène dans ses moments privilégiés d’un soir d’été. Soirée de plénitude. Soirée de tendresse et de couleur.

L’œuvre de Elise Lamotte, c’est la passion de peindre, la rage de saisir, l’impulsion à l’état pur, l’émotion en rayons de soleil. Coup de foudre pour tout ceci depuis le début, je lui dois mieux que ce cliché que ce prénom m’apporte. Et pourtant, c’est avec la merveilleuse composition de Beethoven qu’il faut savourer son univers.

Für Elise.

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IRIÁ FERNÁNDEZ ÁLVAREZ


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Peintures

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du 10 juin au 31 août 2016

Née à Madrid en 1977, diplômée des Beaux-arts de Rome (Italie) où elle fini sa thèse sur la synesthésie dans l’art, thème d’investigation jusqu’a présent.

En tant que personne synesthète elle utilise la peinture comme un moyen qui lui permet de communiquer et partager cette perception particulière du monde. Quand elle dit : “Pour moi les mathématiques sentent le papier, ont la couleur orange-rouge et le goût de quelque chose qui ressemblait à du pain avec du foie gras”, de cette façon elle décrit à travers les sens un concept abstrait. Elle a commence par des peintures abstraites, et petit à petit, soit la couleur soit les formes, ont évolue selon ses ressentis, jusqu’à arriver a une figuration expressionniste.

Les différents pays ou elle a vécu ont été déterminantes dans son travail. La peinture est ici un carnet de voyage où elle peut raconter des histoires, rendre visible une odeur, ou peindre le goût des fraises. Actuellement elle travaille et habite à Montpellier.

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NABARUS


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Monotypes, collages, acryliques, gravures

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du 8 avril au 31 mai 2016

Les personnages de Nabarus se jouent des techniques et défient le temps. Ils apparaissent au gré des approches (monotypes, collages, acryliques, gravures) avec leurs allures caractéristiques, qui semblent familières. Les visages traversent les siècles, aux moues médiévales aussi bien que contemporaines. Cette intemporalité qui peut évoquer les fresques antiques ou des dessins d’alchimiste, est confortée par le choix des couleurs et le travail des fonds, que n’auraient pas renié les explorateurs abstraits du siècle passé. Ocres vieillis, terre ancienne, rouges profonds, touches de bleus ou jaunes resplendissants, la palette confère un aspect précieux d’enluminure magique aux œuvres de Nabarus. Il y a aussi une sorte de naïveté brute maîtrisée, d’approche primitive, qui s’effacent pour laisser place au mysticisme, aux mystères oniriques d’un monde insolite, inhérent à l’artiste.

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Hilde DUCHATEAU


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Aquarelles

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du 1er février au 30 mars 2016

Aquarelles datées du début et milieu de cette décennie assez productive. Des restitutions de paysages et de graminées réels ou librement interprétées. Beaucoup de légèreté, d’insouciance presque.

Autodidacte, Hilde Duchateau peint et dessine sur papier depuis 40 ans : des peintures à l’eau principalement, mais également des pastels. Avec le temps, des peintures acryliques sur toile se rajoutent aux créations sur papier, ce dernier support restant néanmoins un médium favoris.

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Manon BERTHELLOT


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Monotypes, collages, acryliques, gravures

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du 3 décembre 2015 au 3 février 2016

Depuis 2008 je crée et expose des œuvres en terre polie et enfumée, toutes pièces uniques, elles s’inspirent d’univers organiques, naturels, rond et marins.

Je polis les céramiques crues à la main puis les cuis dans des fours primitifs, et éphémères. Ces fours, inspirés de mes voyages sont reconstruits à chaque cuisson, et faits de bois, de terre et de papier, d’où leur nom « Fours papiers ». Les enfumages sont réalisés à chaud, au sortir du four, dans une atmosphère de réduction d’oxygène et de fumée. Le noir de carbone s’insinue dans les céramiques et les teinte. Les terres utilisées sont blanches ou rouges, sans ajout de couleur par la suite, excepté la fumée noire qui dessine des motifs. Les réserves sont au préalablement dessinés, ou seulement craquelés, grâce à la chaleur des pièces tout juste sorties du four à 1000°.

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Mélissa TRESSE


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Gravures

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du 3 décembre 2015 au 3 février 2016

Ayant depuis peu terminé mes études au sein de l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Nîmes, je poursuis ma recherche picturale et gravée sur les rapports formels et surtout sensibles qui s’établissent entre l’humain et l’animal.

En peignant, je tente de suggérer plutôt que définir avec précision la nature étrange des corps représentés, tout en gardant une grande spontanéité dans l’écriture picturale. Ces toiles sont conçues à la manière d’un récit, par emprunts, ajouts, recouvrements successifs, traces de différents passages qui témoignent de l’émergence d’une forme ou bien de son oubli. Les détails retenus qui vont former l’image proviennent d’éléments de la réalité ou bien de mon imaginaire, se regroupent pour former un collage d’éléments hétéroclites qui stimule l’imagination.

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Chantal LAURENT


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Inspiration florales

peinture acrylique sur toile, artiste coloriste

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du 10 au 30 novembre 2015

Chantal Laurent est Peintre coloriste et pratique son Art depuis 6 ans. Ses sources d’inspirations sont les couleurs.

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Aude GUIRAUDEN


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Evocation de paysages

encres acryliques,
peinture sur papier aquarelle[/trx_highlight]

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du 3 octobre au 8 novembre 2015

Née en 1966, après avoir été ingénieure chimiste, Aude s’adonne aujourd’hui entièrement à son art.

Résolument contemporaine par ses sujets, ses techniques, ses audaces, Aude a commencé par s’abreuver aux sources les plus classiques. Ses premiers portraits, ses nus, empruntent à la douceur d’un Fra Angelico, aux masques d’un Modigliani, au fauvisme d’un Van Dongen.Lors de ses très nombreux voyages, en Afrique, en Amérique du Nord, en Asie, elle cherche à capter l’âme des lieux et des hommes.

Aux antipodes de son quotidien toulousain, l’évasion nourrit sa curiosité constante et bienveillante des êtres et des choses. Et la fraîcheur de son regard nous rend proches ces pays lointains. Animée par un sentiment d’urgence propre au photographe, Aude croque l’instantané, capte l’éphémère, le « jamais plus ». Les irisations de la lumière sont celles de la vie mouvante, évanescente, et dont l’artiste cherche, insatiable, à percer le mystère.

C’est pourquoi sans doute l’inspirent tout particulièrement le mouvement des fleuves, Garonne, Tamise, ou simple oued, comme les horizons maritimes, qu’il s’agisse de la Méditerranée (Port-Vendres) ou des océans atlantique et pacifique. Extrait d’un texte écrit par Brigitte Joseph-Jeanneney (Octobre 2013).

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[trx_block align= »center » title= »Visitez La Galerie O Cinq Sens » line= »show » description= »L’institut o cinq sens, en plus des soins du corps, vous propose de stimuler votre esprit ! »][trx_quote title= »Oscar Wilde »]Seuls les sens peuvent guérir l’âme,
tout comme l’âme seule peut guérir les sens.[/trx_quote][/trx_block]